Hôtel-Restaurant Ant’One l’Helvète

« La Tête dans les étoiles »
Un Temple à la Lyonnaise à la Confluence de la Tradition et de la Modernité
Direction : Ant’One Peillon

3 place d’Helvétie, 69006 Lyon
Réservation d’une chambre ou d’une table au 0601 4 69 69 4
Service de Midi à Minuit


Les Diners De
Réparons La France Ensemble

Uniquement sur Réservation
Parking au Garage de l’Europe Offert
Participation :
Un Palet d’Or de la Maison Tourtiller
Offert à chaque Convive

Menu du 1er Diner : « Initiation »

Mardi 14 Février 2023


Apéritif de La Vieille Réserve Accompagné de Foie Gras d’Oie des Halles Paul Bocuse
Poulet de la Maison Matias aux Morilles accompagné du Riz Pilaf façon Pierre Orsi
Fromages de la Mère Richard
Soufflé Glacé au Grand Marnier de la Maison TourtilleR
Pain de la Maison Cartelier
Eau Gazeuse de l’Helvétie et Eau Plate du Grand Lyon
Vin du Moment de La Vielle Réserve
Café Royal, Tisanes aux Fleurs de Bach, Digestif de La Vieille Réserve



Nous Connaître


En savoir plus sur le Directeur de l’Hôtel, le Chef du Restaurant et le Musicien, Ant’One Peillon :


  Antoine Peillon est lyonnais et issu de  familles d’industriels : les Trystram à Dunkerque dans l’industrie du bois; son grand-père Delaye, fondé de pouvoir chez NSM et président des Manufactures Réunies de Saint Chamond; son arrière-grand-père Peillon, qui fonda la fonderie Florence et Peillon à Lyon dans années 30, qui fût reprise par son grand-père Paul, qui fût aussi président du syndicat de la métallurgie durant 3 ans, puis qui dirigea le Groupement Interprofessionnel Lyonnais en 1982. Il céda à ses enfants l’usine familiale et pris la présidence de la Société de Développement Régional du Sud-Est, ancêtre de la BPI, et fût Président du Foyer Notre Dame des Sans Abris durant 2 ans.
   Antoine Peillon, lors de sa prépa HEC, a remporté avec 2 amis en 1991 le Prix de création d’entreprise  de la Région Rhône-Alpes remis par Olivier Ginon, fondateur et dirigeant de GL Events, chez les Maristes de Lyon pour un projet de start-up dans le domaine du digital. Il est diplômé de l’ESLSCA  en Marketing en 1995 et de l’EMLYON Business School  en Management des Activités de Services en 1996. Par ailleurs, il est diplômé de l’Université Lumière Lyon 2 en  Histoire de l’Art en 2003. Enfin, il est diplôme en Design Thinking par I.D.E.A  Innovation, Design, Entrepreneurship & Arts, par l’Ecole Centrale de Lyon et l’EMLYON Business School en 2014.
   Il a débuté sa carrière dans le domaine Artistique en 1993 avec Jean-Michel Jarre. Poursuivant un projet personnel, il a travaillé 3 ans de 2002 à 2005 chez le Commissaire-Priseur Anaf dans l’ expertise d’objets d’art et l’organisation de Ventes aux Enchères. Enfin, il a participé à Museomix  en 2014 sur le projet Stéphanois au sein du Musée des Arts et de l’Industrie, tissant des liens depuis cette époque avec Yves-Armel Martin, dirigeant d’Erasme à l’époque et dirigeant actuel du dirigeant du Bureau des Possibles.
   Depuis, il est impliqué dans le Conseil, débutant sa carrière sur la question du  traitement des déchets dans les concessions du réseau des Automobiles Peugeot. en Région Auvergne-Rhône-Alpes. Il a poursuivi dans le domaine de l’ Innovation et de la R&D en Belgique et en France de 1997 à 2001 pour le compte du Leader International du secteur, Altran, devenu Capgemini Engineering en 2021 puis de 2017 à 2020 chez le lyonnais Akka, leader International du  Conseil en Mobilité . Il a exercé aussi chez Bouygues Telecom de 2005 à 2008 sur le conseil et la vente de  Services Telecom Innovants. Enfin, il aussi travaillé dans le domaine du conseil en Innovation et Transformation Digitale  : en 2011 et 2012 pour un réseau de vente d’aspirateurs, et en 2020 et 2021 pour le compte de Nova Technology, spécialiste du domaine ; c’est dans ce cadre qu’il a commencé à collaborer avec François Rousseau sur l’ Innovation Sociale. Après avoir été chargé de mission au  Grand Lyon de 2008 à 2013, il a créé sa structure de Conseil à Vocation Sociétale Dessine Moi Une Ville. Il a travaillé principalement avec GL Events a à la création d’  Innova’Lyon, il a accompagné Edenred dans le développement de ses  activités innovantes pour le Secteur Public en 2016 et la CCI Lyon Métropole Saint Etienne Roanne  autour d’une offre de Conseil du Plan PME de la Région Auvergne-Rhône-Alpes  .
   Il a porté, entre 2014 et 2022, un projet de Tiers-Lieu et de Plateforme Virtuelle  dédiés à la valorisation du patrimoine industriel et culturel régional et à la  prospective autour de l’Innovation et des Arts. Il en a présenté une première version le 25 novembre 2014 au  Parlement des Entrepreneurs d’Avenir à Lyon où il fait la connaissance de l’architecte lyonnais Thierry Roche qui dirige une agence impliquée dans les grands enjeux environnementaux. Il travaille depuis avec Geneviève Bouché, mais aussi par la suite avec la Fabrique du Futur et d’autres structures.
  Depuis sa plus tendre enfance, Antoine Peillon cuisine . C’est sa Grand-Mère Paternelle, Françoise Peillon, qui lui a appris la cuisine en suivant les recettes de Pomme d’Api , et par sa Grand-Mère Maternelle, Marie-Magdeleine Delaye, en suivant les recette de Michel Oliver. C’est 2022, le 15 janvier, avec une raclette comme dîner pour ses premières convives, qu’il ouvre son Hôtel-Restaurant Antoine l’Helvète à Lyon dans le fameux 6ème arrondissement. Sa cuisine qui se veut traditionnelle et fait appel aux meilleurs produits dans la tradition de son Ami, Pierre Orsi, et du Pape de la Cuisine Mondiale, Paul Bocuse. Il est heureux accueillir des convives agréables dans un cadre fort sympathique. C’est un moment de pur plaisir  dans son établissement à la vue imprenable sur la légendaire Croix-Rousse et sur le majestueux fleuve lyonnais, le Rhône. Il a comme spécialités le Poulet aux Morilles, mais aussi le Poulet au Curry, les Lasagnes, le Saumon en papillote, les soupes de Potiron et de légumes de saison, la ratatouille, ou encore les soupes de pêches à la menthe et la tarte aux pralines. Il est accompagné dans son activité par sa Fille, Jade.
   Dans ses activités personnelles, il a réalisé des albums de musique, maniant la Musique Assistée par Ordinateur  , et animé une émission pour Radio Salam, basée à Villeurbanne, réalisant pour cela des  Podcasts . Il a été bénévole au Foyer Notre Dame des Sans Abris  et est aussi impliqué dans l’association à vocation sociétale « Télémaque » (  https://www.telemaque.org/ ) et l’association « Une nuit pour 2500 voix  » qui œuvre pour faire avancer la recherche contre les cancers de l’enfant (  https://2500voix.org/ ).


L ‘ Hôtel


L e Restaurant



Quelques Plats du Chef :


En savoir plus sur Pierre Orsi et Geneviève Orsi :

« Notre maison a une âme, celle d’une adresse bourgeoise, misant sur un accueil familial et convivial. Notre maison est une grande famille, permettant de se sentir bien, et de trouver l’excellence dans le service. Notre métier et notre rapport au client, doivent toujours se faire par amour, c’est ce que nous tentons de dégager chaque jour ». Pierre Orsi.
« Notre cuisine est une palette de saveurs authentiques aux multiples parfums, mise au goût des saisons. Les couleurs s’illuminent et se mélangent tel un véritable tableau. Les goûts savent surprendre et dévoilent de nouvelles sensations. » Pierre Orsi
Pour cet ouvrier, la cuisine est une guerre qui se livre au front de la vigilance et qui se gagne dans un don total de soi. Un sens du travail et de la rigueur, qui lui a permis d’être nommé Meilleur Ouvrier de France en 1972. A la recherche permanente de la perfection et de l’excellence, il aime offrir ce qu’il y a de meilleur à ses hôtes, tout en cherchant à renouveler et à moderniser tout ce qu’il entreprend. « Je travaille au quotidien avec une équipe de passionnés. Leur savoir-faire et leurs expériences, permettent de proposer à chaque saison, de nouveaux plats tels, de véritables créations. Il faut perpétuellement mettre nos sens en éveil. L’ouïe, la vue et l’odorat deviennent nos outils au quotidien pour créer, inventer et réinventer chaque plat. » Pierre Orsi

Geneviève Orsi : Maîtresse de maison
Ouvrière du confort, elle construit le beau, en traquant à longueur de journée toute forme de déparaillé. Rideau, surface, plancher et tableaux doivent de leur éclat, justifier la mise et clamer aux convives le premier hymne de bienvenue. Tout est placé et déplacé pour concourir au raffinement et à l’élégance du roi : le client. Pour cela, elle dispose de deux praticables, l’oeil et le doigté auxquels se rajoute un secret que seule la grâce peut engendrer : le sourire. Madame Orsi symbolise l’harmonie de cette maison de pierre ; elle est l’âme silencieuse et gracieuse, la houlette rassurante. « Douceur, amour et tendresse » est sa devise, son art de vivre. 

Douceur, Amour et Tendresse, une histoire de coeur
Nous sommes tous aussi gourmands que vous. Un péché mignon que nous partageons avec chacun de nos hôtes avec douceur, amour, mais aussi tendresse. L’amour de la cuisine est avant tout une histoire de coeur qui reflète la passion dans chacun de nos plats.


Choix de produits d’excellence
Notre cuisine n’est pas le fruit du hasard. Avant de commencer chaque création, nous sélectionnons rigoureusement les produits. Pour vous conquérir et vous séduire, nous ne travaillons qu’avec des produits d’excellence…les meilleurs parmi les meilleurs !

Nos fournisseurs privilégiés
Nous choisissons des fournisseurs de qualité avec beaucoup de rigueur. Ce sont des professionnels reconnus dans leur domaine, pour beaucoup ayant le titre de Meilleur Ouvrier de France. Ces relations privilégiées nous permettent de constituer avec eux, la chaîne de l’excellence.

La transmission
« Je connais bien l’intérêt et l’enjeu de l’apprentissage. J’ai été moi-même apprenti chez Paul Bocuse, avant de créer mon propre restaurant. Je mets donc un point d’honneur à transmettre ma passion du métier à tous les jeunes. Je veux leur donner le goût du travail bien fait et leur transmettre ma passion. » Pierre Orsi

L’ambiance chaleureuse de notre grande salle à manger précieuse et de nos salons
« La philosophie du service est primordiale à nos yeux. Toujours à l’écoute de nos clients et de leurs attentes, nous mettons à chaque fois tout en oeuvre pour qu’ils repartent heureux. Ce rapport passe déjà par le sens du détail comme un nappage propre et une tenue irréprochable. Puis l’esprit chaleureux se dégage par le sens de l’accueil et une joie de vivre communicative. Ici, les aiguilles s’arrêtent… » Pascal Nabat, premier maître d’hôtel

Bien-être et discrétion
Nous attachons une place importante au bien-être de nos clients mais aussi à la discrétion. Nos salles et nos salons ont été aménagés et décorés pour créer une ambiance feutrée et intimiste. Notre grande salle à manger se compose de tables rondes de 8, 10 ou 12 convives, pouvant accueillir jusqu’à 90 personnes. Nos salons permettent d’accueillir repas et séminaires. Nous mettons à votre disposition : paperboard, rétroprojecteur, écran, projecteur, téléphone et fax. Lieux de travail exceptionnels, ils se prêtent à tous vos événements et formules de réunions gourmandes, grâce à leur multiples dispositions.


En savoir plus sur Paul Bocuse :

Concevoir LA TRADITION EN MOUVEMENT, c’est offrir un avenir au mot héritage.

L’ESPRIT PAUL BOCUSE : simplicité, raffinement, légèreté, audace.

Paul Bocuse nait le 11 février 1926 à Collonges-au-Mont-d’Or, à quelques kilomètres de Lyon. Fils unique de Georges et Irma Bocuse, il descend d’une longue lignée de cuisiniers qui remonterait à 1765 où l’on retrouve un Michel Bocuse qui régalait déjà, avec sa femme, les paysans de fritures, cochonnailles et fromages de la région.
Son parcours débute chez Eugénie Brazier, dite « La Mère Brazier » puis va être marqué par la personnalité de Fernand Point, Chef de La Pyramide à Vienne. Là, il apprend celles qui deviendront ses deux valeurs cardinales : la simplicité et la maîtrise des modes de cuisson.
Un passage à Paris, chez Lucas Carton, avec le Chef Gaston Richard, lui permet d’approcher un certain académisme culinaire, la haute cuisine telle qu’on la pratique dans la capitale. Après un nouveau passage en 1956 auprès de Fernand Point, comme Chef Garde-Manger, Paul Bocuse retrouve l’entreprise familiale à l’Hôtel du Pont de Collonges.
Dès 1958, l’ascension s’accélère. L’Abbaye de Collonges, à quelques centaines de mètres de l’Auberge, voit aussi le jour, dédiée aux évènements d’exception. En 1961, le Chef remporte le titre de Meilleur Ouvrier de France.
Un soir, Henri Gault et Christian Millau (les pères du célèbre Guide Gault Millau) restent subjugués par une salade de haricots verts al dente, suivie de petits rougets de roche très peu cuits. La cuisine, ici, à l’Auberge du Pont de Collonges, leur parait à des années-lumière de ce qu’ils ont l’habitude de manger ailleurs.
Paul Bocuse leur recommande de visiter ses amis les frères Troisgros à Roanne où ils retrouvent ce même esprit : simplicité, raffinement, légèreté, audace. Un mouvement est clairement en train d’émerger, l’occasion de créer une société de la Grande Cuisine Française pour défendre cette tendance qui sera bientôt dénommée « Nouvelle Cuisine » et où se réunissent déjà une douzaine de Chefs.
Au début des années 1980, Paul Bocuse s’associe avec ses amis Roger Vergé et Gaston Lenôtre pour ouvrir à Orlando, au cœur de Walt Disney World, le pavillon français baptisé « Chefs de France ». Ainsi démarre l’aventure du Chef à l’international et son nom va bientôt envahir d’autres pays comme le Japon où il est considéré encore aujourd’hui comme un véritable dieu vivant.
Pendant plus de 50 ans, le cuisinier du siècle, homme passionné et passionnant, humble et généreux, a transmis sa philosophie à une garde rapprochée fidèle, désireuse aujourd’hui de faire perdurer l’esprit et l’âme de l’ami Paul et de son auberge, à travers ses valeurs : la quête de l’excellence, le sens de l’accueil et de l’amitié, la générosité et l’amour de la gastronomie française…

Sa petite-fille, Candice Bernachon, co-directrice du fameux pâtissier chocolatier lyonnais Bernachon, est voisine de notre Hôtel-Restaurant.

La Quête d’Excellence
« Travailler comme si on allait mourir à 100 ans et vivre comme si on devait mourir demain »
La passion est assurément le moteur qui a permis à Paul Bocuse de connaître son succès. Chacun, au sein de l’Auberge ou de l’Abbaye de Collonges partage ce souci permanent de la plus haute qualité, que cela soit pour le choix d’un produit, le juste geste en salle, l’attitude adéquate à tout moment, envers les clients comme avec ses collègues. C’est cette signature d’excellence qui a marqué l’histoire de la maison et qui est le socle de toute création.

La Joie
« Recevoir quelqu’un, c’est se charger de son bonheur ».
Toute l’histoire de Paul Bocuse est parsemée d’anecdotes qui traduisent le sens profond de l’amitié qu’a le Chef pour son entourage comme pour ses clients.
Cette joie de faire plaisir, de servir au sens le plus noble du verbe, c’est-à-dire être utile à l’autre, est une motivation de chaque instant qui permet de faire vivre à chaque client des sensations rares, des émotions franches et inoubliables.

La Transmission
« Nous sommes des manuels. Notre métier s’apprend, c’est un métier de compagnonnage que nous avons le devoir de transmettre »
L’œuvre de Paul Bocuse est marquée par sa volonté de transmission. Le Chef a toujours été à l’origine d’une communication facilitée pour un partage d’expériences et de compétences qui ont permis à la maison de grandir et se développer.
Aujourd’hui, chacun, au sein de l’équipe, est ambassadeur de cette matrice, de son esprit disruptif, novateur, singulier, et unique.

La Liberté
On ne devient pas le Pape de la Gastronomie, l’ambassadeur de ce que l’on appelle « la cuisine nouvelle » sans s’enticher d’une certaine part de liberté. Oser, créer, innover avec pour seule contrainte, être juste. Juste dans ses cuissons, juste dans le choix des produits, juste avec son âme et juste dans son intention. Aujourd’hui, c’est cet esprit créatif, audacieux, rigoureux, précis, et singulier que l’équipage s’attèle à rendre éternel. Entrer chez Paul Bocuse, c’est entrer dans le temple de la liberté, de la créativité, de l’authenticité qui a ce goût si singulier d’avant-gardisme.

Un territoire et ses hommes, la quête du produit parfait à la bonne saison
L’équipage de Paul Bocuse est de toutes les rencontres où il est question de bonne cuisine.
Les fournisseurs du restaurant Paul Bocuse n’ont pas changé depuis des lustres. Le choix des légumes est confié à un maraicher de confiance : la famille Fressenon qui depuis trois générations, achète à des producteurs sélectionnés dans toute la France. Les poissons, lorsqu’ils n’arrivent pas en direct d’une criée de Bretagne, sont fournis par les Homards Acadiens.
Pour les viandes, la Tresse du Boucher est la référence avec sa collection d’animaux de Pauillac, de veaux élevés sous la mère, et de bœuf de Salers.
Les volailles de Bresse aux pattes bleues sont fournies par Bastin et Mieral, les saucissons et les cervelas par la mère Sibilia et ses filles, les Saint-Marcellins sont signés de la Mère Richard qui partage son privilège de fournisseur avec la Maison Chevenet. Philippe Marc Jocteur, Boulanger à Collonges, approvisionne le restaurant depuis toujours en bon pain au levain.


Un équipage de talent aux commandes du vaisseau
Le prestige de l’équipage Paul Bocuse avec ses nombreux MOF n’est pas sa seule grande qualité, c’est aussi l’enthousiasme d’une équipe toujours à votre écoute qui contribue à perpétuer la richesse de cette Maison. La transmission des expériences, des passions et des compétences, c’est ce qui a toujours animé Paul Bocuse. En salle comme en cuisine, chacun des acteurs est aujourd’hui l’ambassadeur du savoir-faire et du savoir-être de cette signature unique.

L’identité : les 5 sens en éveil
Dans les années 1970 nait un mouvement baptisé « Nouvelle Cuisine » dont Paul Bocuse va très vite devenir l’un des ambassadeurs les plus importants, en France comme à l’international. A cette époque, le concept apparait comme une véritable révolution, loin des dogmes de la Haute Cuisine du moment restée figée depuis le 19ème siècle, plutôt lourde, grasse et prétentieuse. Les 5 sens se doivent désormais d’être stimulés et les produits mis en avant (et non plus noyés sous des garnitures riches). Réduction des temps de cuisson, nouvelle utilisation des produits ou l’on connait parfaitement leur origine, diminution du choix sur les cartes, sauces allégées, présentations simplifiées, recherche de l’innovation, tout semble désormais permis…


La Grand-Mère Paternelle du Chef Antoine Peillon,
Françoise Peillon :


La Grand-Mère Paternelle du Chef Antoine Peillon,
Marie-Magdeleine Delaye, et ce dernier à sa naissance :


En savoir plus sur la Maison Bougel :

La Maison Bougel est un traiteur spécialisé dans le saumon fumé depuis 2011 à Lyon. Thierry Bougel, entouré de sa femme Stéphanie et de l’excellente Virginie, accueille souvent Ant’One Peillon et son assistante Jade. Ils apprécient leur saumon, fumé ou encore mariné, leur foie gras, leurs cookies et de tant de bonnes choses préparées par cet excellent traiteur au cœur du 6ème arrondissement de Lyon.


En savoir plus sur la Maison Makalu :

La Maison Makalu est un Primeur présent sur le Marché Tête d’Or dans le 6ème arrondissement de Lyon. Fondée par la sympathique et réputée Reine Seigneuret, cette institution a été reprise par Patricia et Christine, ses filles, puis maintenant par son petit-fils, Jean-Marc. Les légumes de ce maraicher sont de grande qualité, souvent en circuit-court. Ant’One Peillon les connait personnellement depuis de longues années et s’approvisionne uniquement chez eux pour cuisiner ses fruits et légumes.


En savoir plus sur la Maison Matias :


Installé dans le 6ème arrondissement de Lyon, rue Duguesclin, Georges Matias, et toute son excellente équipe, entretient avec sa femme Carole, assistée de l’excellente Déborah, une passion inébranlable pour le métier de boucher. Une vocation née dès le plus jeune âge, qui aujourd’hui, l’incite à sélectionner les meilleurs produits, pour le plus grand plaisir des Lyonnais, et surtout d’Ant’One Peillon et de son assistante, Jade. Ils apprécient la grande qualité de leurs Viandes aux origines de qualité, leurs Rôtis Farcis, dont celui à l’Italienne, leurs Escalopes de Veau Milanaises, leurs Cordons Bleus, ainsi que leurs Charcuteries, dont celles accompagnant les raclettes, et leurs plats cuisines, en particulier les épinards à la crème. Leur poulet rôti à la broche est aussi très apprécié du Chef. Enfin, ils ont une sélection de Fromage de la Mère Richard.
Il est vrai, le monde appelle le monde, mais à voir sa boucherie se remplir dès potron-minet, la conclusion se veut limpide : Georges Matias est un esthète de la profession, un artiste qui, dissimulé derrière sa vitrine en verre, parvient à dessiner un alléchant tableau construit de chairs fraiches plus appétissantes les unes que les autres.
Un régal pour les yeux, avant celui des papilles, que les passants ont toutes les peines à ignorer, comme aguichés par ces effluves nés de ces morceaux d’agneaux de l’Aveyron, de veaux de lait et autres volailles. La scène se veut ainsi quotidienne, sans aucune exception, comme une éternelle mention aux plus jeunes années du boucher qui, dès l’âge de 7 ans, fut conquis par cette profession.
Depuis, la passion n’eut jamais l’occasion d’être hachée menu. L’appétit venant en mangeant, celle-ci s’est même enrichie au fil des années, encouragée, il est vrai, par la perspective de la partager l’aventure avec sa moitié, Carole, fine gestionnaire d’une entreprise familiale établie en 1991, rue Vaubecour, dans le quartier d’Ainay.
Une première boutique tenue pendant plus 24 ans, avant que les lignes architecturales de la rue Duguesclin ne soient désignées comme le point d’accueil idéal à ses produits. Alors Georges Matias s’est résolu à se séparer de son premier terrain de jeu, transmis à John Voisin, pour se concentrer sur cette deuxième affaire dont l’activité l’invite à se jeter à corps perdu dans son métier.
« Accueil, service et qualité », tel est le credo de la maison, dont l’implication est saluée en toute saison, y compris pendant le reconfinement. « C’est le plaisir de recevoir les gens. On a vraiment un rôle à jouer, en oubliant les heures et la fatigue. Tous les salariés ont répondu présent pendant cette période difficile. Nous sommes fiers de nous rendre utiles pendant le covid », explique-t-il.
Une parenthèse de bonheur pour les Lyonnais, lesquels ont pu (re)gouter à ces viandes de qualité, soigneusement sélectionnées à l’abattoir de Saint-Étienne puis écoulées à des tarifs eux-mêmes succulents. « Aujourd’hui, les gens sont prêts à manger moins de viande, mais ils veulent de la qualité, avec des produits travaillés par des professionnels », affirme le boucher lyonnais.
Pour cela, aucun doute, Georges et Carole Matias ont du métier. Le duo l’assure, ce dernier a même « beaucoup d’avenir ». Ici, seule la faim est proche.


En savoir plus sur La Maison Favier :

Ce sont Daniel et Martine Favier, assistés de Denis Favier, le frère de Daniel, qui dirigent cet illustre boucherie de la rue Duquesne, à quelques immeubles de l’Hôtel Restaurant d’Ant’One Peillon, qui entretient une relation amicale avec eux depuis qu’ils ont repris cet établissement de qualité à Monsieur Pienoz, que connaissait bien aussi le Chef.Leur Rôti Farci de Veau aux Olives, leur Jambon, mais aussi leur Boudin Blanc, et bien sûr leurs Quenelles de Brochet, spécialité de cette Maison de Qualité, font le bonheur du Chef. Leurs Lasagnes font la joie de l’assistante d’Ant’One Peillon, Jade.Un petit coin fromagerie qui est au même excellent niveau que les autres produits. Le service est très agréable et les échanges sur les produits et les recettes toujours pertinent.



En savoir plus sur A l’Olivier :

Une histoire de goût, de partage et de découverte, spécialiste depuis 1822. À l’Olivier Lyon propose plus d’une soixantaine d’huiles d’olive. Retrouvez dans leur boutique de Lyon des huiles d’olive bio, des huiles d’olive extra vierge, de fruits à coque et de graines mais aussi des Grands crus d’huiles françaises AOP.
Découvrez également leurs produits d’exception d’huiles d’olive infusées : basilic, truffe noire, truffe blanche d’Alba, citron & gingembre, ail & thym, piment d’Espelette, lavande, etc.
Les bouches sucrées trouvent aussi leur bonheur grâce aux confitures d’olives ou aux différents vinaigres à la pulpe de fruits (passion, framboise, mangue, tomate/basilic…) ou de grands balsamique IGP.
Véritable passionné, Eric Ladougne, ami d’Antoine Peillon, dirige ce spécialiste qui permet au Chef de concocter les meilleures sauces pour ses nombreuses salades et préparations pour ses plats. Eric vous initiera à la richesse aromatique des huiles, vinaigres, condiments, et vous conseillera sur leurs nombreuses utilisations en vous proposant de captivantes dégustations personnalisées.


En savoir plus sur la Maison Cartellier :



En savoir plus sur la Mère Richard :

Maison fondée en 1965 par Renée Richard (mère), dite « La Mère Richard », la fromagerie se situait à l’époque aux Halles des Cordeliers dans la presqu’île entre Rhône et Saône. Très vite, ses spécialités sont devenues le Saint Marcellin et le Saint Félicien. Ses clients restaurateurs de la première heure, dont Paul Bocuse, ont contribué à la notoriété de la maison. Installés depuis 1971 aux Halles de Lyon Paul Bocuse, nous nous efforçons de maintenir la qualité et les traditions qui ont fait la renommée de la maison. A nos produits phares s’ajoutent les spécialités locales d’Auvergne-Rhône Alpes comme le Saint Nectaire fermier, le Salers fermier, le Reblochon, le Beaufort, la Rigotte de Condrieu pur chèvre, le Picodon pur chèvre et bien d’autres. Nous apportons un soin particulier à l’affinage de nos fromages et à l’accueil de notre clientèle.
C’est chez Renée Richard, avec qui Antoine Peillon entretient un rapport amical, que le Chef lyonnais, choisit le fromage qui est servi dans son Restaurant. Il apprécie son saint-marcellin qui est sur les tables de Paul Bocuse ou de Pierre Orsi, et a comme pêcher mignon les nombreux fromages de cette illustre maison, en particulier ceux à la truffe.


En savoir plus sur la Maison Tourtiller :


La Maison Tourtiller est une pâtisserie de qualité implantée depuis 1963 à Lyon.L’été 2014 le magasin s’est refait une jeunesse afin de valoriser les classiques qui ont fait sa renommée. Depuis 2006 Mr et Mme Lecouple ont repris cette pâtisserie phare du 6ème et préservent avec dévotion l’esprit de Mr Guy Tourtiller. Dans un cadre cocooning, baroque et raffiné, venez redécouvrir les gourmandises qui ont bercé votre jeunesse comme le fameux Saint Pothin et surtout le fameux Florentin que déguste avec passion Ant’One Peillon depuis 49 ans et la tarte à l’Orange que les Lecouple ont créé à leur arrivée. Vous pourrez aussi déguster l’Ambassadeur, le Framboisier, mais aussi les éventails, sans oublier les glaces, dont le fameux Soufflé au Grand Marnier, autre spécialité dont raffole Ant’One Peillon, mais aussi la palette de nougatine.Un grand choix de chocolats et de confiseries maison vous sera présenté. Envie de gourmandises ? Venez goûter les fameux Palets d’Or, les tablettes de chocolat amer, chocolat au lait, de chocolat au café ou encore à l’orange comme la nouvelle spécialité, la Morandette.Pour vos Petits-Déjeuners, vous pourrez découvrir l’illustre Brioche aux Pralines qui fait la joie d’Ant’One Peillon, mais aussi de nombreuses viennoiseries.Mais il ne faut, aussi, oublier le salé, avec de nombreuses tartes, dont celle au fromage qui est le pêché mignon du Chef Ant’One, ou bien encore le fabuleux Pâté en Croute.


En savoir plus sur la Vieille Réserve :


Installée à Lyon depuis 1929, La Vieille Réserve propose sa sélection de vins et spiritueux dans ses boutiques du 1er et 6ème arrondissement et vous accueille également depuis 2019 sur son corner des Halles Monts d’Or. Elle est dirigée par Fabrice Morel, ami d’école d’Ant’One Peillon, mais aussi la palette de nougatine.Un grand choix de chocolats et de confiseries maison vous sera présenté. Envie de gourmandises ? Venez goûter les fameux Palets d’Or, les tablettes de chocolat amer, chocolat au lait, de chocolat au café ou encore à l’orange comme la nouvelle spécialité, la Morandette.Pour vos Petits-Déjeuners, vous pourrez découvrir l’illustre Brioche aux Pralines qui fait la joie d’Ant’One Peillon, mais aussi de nombreuses viennoiseries.Mais il ne faut, aussi, oublier le salé, avec de nombreuses tartes, dont celle au fromage qui est le pêché mignon du Chef Ant’One, ou bien encore le fabuleux Pâté en Crouteette Cave de très grande qualité. Il choisit les meilleurs vins avec une sélection exclusive de producteurs.

En savoir plus sur nos Cafés et nos Tisanes