Quelques sources d’inspiration
Jean-Baptiste Trystram

Jean-Baptiste Trystram, né le 9 janvier 1821 à Ghyvelde (Nord) et mort le 25 novembre 1906 à Dunkerque (Nord), est un industriel et homme politique.
Doué d’un étonnant sens du commerce, il se lance dans le négoce agricole et amasse de solides économies qu’il réinvestit dans le commerce du bois puis dans le raffinage du pétrole. Il fonde avec Louis Crugeot une maison d’importation des bois de Scandinavie, complétée d’une scierie mécanique en 1856. Ils montent également une raffinerie d’huiles de pétrole.
Républicain de la première heure, cet industriel est nommé sous-préfet de Dunkerque.
De 1871 à 1892, il siège au conseil général du Nord dont il est nommé vice-président à plusieurs reprises. Président de la Chambre de commerce et d’industrie de Dunkerque, de 1875 à 1884 il s’attache tout particulièrement au développement du port et assoit sa notoriété.
En 1876, il entre à la Chambre des députés. Aux élections d’octobre 1877, après une campagne électorale virulente, il échoue. Mais cette dernière élection est invalidée et il retrouve son siège dès 1878. Il s’implique dans la vie parlementaire et privilégie les questions commerciales et maritimes. Réélu en 1881, il est battu en 1885 mais retrouve son mandat en 1886 à la faveur d’une partielle. Battu aux législatives de 1889 par un candidat boulangiste, il est élu sénateur en 1892. Grand notable républicain, il se spécialise de plus en plus dans les questions commerciales et maritimes. Réélu en 1897, il démissionne en 1905 pour raisons de santé.
Autodidacte, J.B. Trystram est devenu, par son opiniâtreté et un sens inné du commerce, l’une des grandes figures bourgeoises et républicaines du département du Nord. Conscient de l’intérêt de développer le port, il emploie ses mandats de député puis de sénateur à obtenir les textes législatifs et réglementaires pour obtenir les crédits nécessaires à l’extension du port dans le dernier quart du XIXème siècle.
Le nom de cet industriel et homme politique flotte encore aujourd’hui sur Dunkerque et sur son port ; sa statue redorée en 2000 a pris place devant la Chambre de commerce où lui et son fils, Jean-Baptiste Trystram, ont eu comme principaux objectifs de constituer et de défendre le troisième port de France.
Charles Peillon


Charles Peillon est né dans le 6ème arrondissement de Lyon en 1896 et est décédé le 27 mai 1981. Il était marié à Gabrielle Dodo (issue d’une famille d’industriels grenoblois), a eu avec elle 2 enfants : Paul et Josette. Il a servi dans l’aviation lors de la première guerre mondiale; il reçut pour son action au sein de l’Armée la Croix de Guerre et la Légion d’Honneur en 1921.
Charles Peillon est issu d’une famille de soyeux lyonnais. Francisque, son grand-père, avait créé une Entreprise de Soierie en 1866. Son père, Paul Peillon, a poursuivi l’aventure familiale et fût président du Syndicat des marchands de soie en 1913. C’est son Frère André qui repris l’Affaire avant qu’elle ne s’arrête en 1920.
Charles Peillon n’a donc pas fait sa carrière dans l’entreprise familiale. Il créa, avec Charles Florence, la Fonderie Florence et Peillon en 1923, à la suite du rachat d’une fonderie de bronze, rue du Sud à Lyon, terrain qui devint la Gare de la Part-Dieu.
Ils développèrent l’entreprise ; l’usine employait 11 ouvriers et compta jusqu’à plus de 800 salariés. Ils firent évoluer la technique de production, la fonderie à sable, vers la fonderie de bronze en coquille. Ils développèrent plus tard, complément, le matriçage de laiton, puis l’usine des culots en 1927 avec l’acquisition d’un four à verre.
En 1944, il fût rejoint par son fils Paul qui sortait de l’école Polytechnique. Il racheta les parts de la famille Florence en 1944, devenant propriétaire de l’intégralité de l’entreprise.
En 1950, sa fille Josette se maria avec Hubert Carret, dont la famille était propriétaire de l’entreprise d’agro-alimentaire Rivoire et Carret, fondée à Lyon en 1860. Il a été dirigeant de l’entreprise avant de la revendre à Lustucru. Il était cousin germain avec l’épouse de Paul Berliet ; Hubert Carret fût, dans les années 60, le Président Directeur Général de la Société Marocaine des Automobiles, et s’occupa donc, au Maroc, de la direction des Usines Berliet-Maroc.
Au début des années 50, Florence et Peillon, sous son impulsion, se lança dans la fabrication d’étuis d’aluminium filés, laqués et imprimés et de tubes souples filés et imprimés pour la pharmacie et la parfumerie.
Il prit sa retraite en 1967, à 71 ans, cédant l’entreprise à son fils Paul qui devint PDG.
Ce dernier, au regard de la croissance important de l’entreprise, fit déménager l’usine à Vaulx-en-Velin, avenue de Böhlen, où elle se trouve encore aujourd’hui.
Paul Peillon

Paul Peillon, est né dans le 6ème arrondissement de Lyon le 4 mars 1923 et décédé le 8 mai 2016. Il était marié à Françoise Trystram avec laquelle il a eu 5 enfants.
Il est diplômé de l’X, l’école Polytechnique, en 1946 et rejoint son père à la direction de l’entreprise familiale lyonnaise, Florence et Peillon.
Aux côtés de son père, il développa significativement l’entreprise, tant en nombre de salariés (elle compta jusqu’à plus de 500 salariés) qu’en termes d’activités (la fonderie et l’usinage; le cuivre, le verre, le laiton et surtout l’aluminium, dont la technique de fabrication des pièces passa de la coquille à l’injection, et le zamak). Les clients étaient dans de nombreux secteurs, dont en grande partie l’industrie automobile. Il développa une activité en Espagne. Il céda la direction de l’entreprise en 1983 à ses 2 fils ainés, Henri et Patrice, qui ont poursuivi le développement de la fonderie. Ils ont fait face à de grosses difficultés liées à la conjoncture économique du début des années 80 mais ont réussi à redresser l’entreprise et à la rendre à nouveau très prospère. Ils cédèrent l’entreprise familiale en 1989 et se lancèrent dans de nouvelles activités entrepreneuriales.
Durant ces années, Paul Peillon a eu de nombreux engagements. Il a notamment été très impliqué dans le Syndicat de la Métallurgie dont il a été trésorier durant 12 ans puis président durant 3 ans. Il fût aussi impliqué au GIL, le Groupement Industriel Lyonnais.
En 1983, après avoir quitté Florence et Peillon, il lui fût proposé de prendre la direction de la Société de Développement Régional du Sud-Est, chargée de contribuer à la création et au renforcement des entreprises régionales à travers la mise en place de prêts ou les concours en fonds propres. Il présida la SDR SE durant 10 ans.
Enfin, il eut des engagements associatifs et sociaux. Il fût brancardier de Lourdes pendant presque 20 ans. Puis, à 70 ans, il s’impliqua au Foyer Notre Dame des Sans-Abris, créé à Lyon en 1950 par Gabriel Rosset. L’association faisait alors face à de grosses difficultés. Il en prit la présidence durant 2 ans en la redressant avec son équipe. Puis, il passa la main à son ami Jean Breugnot tout en restant très impliqué comme vice-président. A 75 ans, il quitta ses fonctions de direction tout en restant impliqué dans la vie du FNDSA. Il a donc œuvré au cours de sa carrière dans l’industrie, le financement des entreprises, le social l’amenant à collaborer avec les pouvoirs publics, les fonctionnaires et les travailleurs sociaux.
Ce fût, à l’image des industriels lyonnais, un patron humaniste.
Emile-Jean Delaye

Emile-Jean Delaye est né en 1918 à Lyon et décédé en 1990. Fils d’une famille de soyeux, il était marié à Marie-Magdeleine Delaye (fille d’une famille d’industriels et de soyeux). Ils ont eu 2 filles et 1 fils, ce dernier étant industriel et dirigeant d’une importante entreprise dans le domaine pharmaceutique.
Pendant la seconde guerre mondiale, il fût résistant à Lyon. Cela lui valut d’être proposé pour recevoir la Légion d’Honneur à l’issue de la guerre, mais il la refusa, considérant que son action durant cette période était naturelle et ne méritait pas une décoration.
Il fût à la fois agent de change, industriel et banquier.
Il commença sa carrière comme associé au sein de la société d’agents de change lyonnaise Girardet. Il dirigea les Manufactures Réunies de Saint-Chamond, entreprise textile qu’il céda dans les années 80. Enfin, il fût en parallèle fondé de pouvoir au sein de la Banque Neuflize Schlumberger Mallet.
Il était passionné de voile, passion qu’il a transmise à l’ensemble de sa Famille.
Enfin, il fût membre du Cercle de l’Union à Lyon.

Un Homme connecté à son Temps et Visionnaire

À l’hôtel de ville de Montréal. À gauche, son éditeur Bernard Valiquette ; et le maire suppléant Paul Leblanc
« L’avenir, tu n’as point à le prévoir
mais à le permettre »
Citadelle, Antoine de Saint-Exupéry, éd. Gallimard, coll. « NRF », 1948, chap. LVI, p. 167
« Le chef est celui qui prend tout en charge. Il dit : “J’ai été battu”. Il ne dit pas : “Mes soldats ont été battus”. »
Antoine de Saint-Exupéry, Pilote de guerre
Reportage du 17/10/2020 sur France 3 National
« Antoine de Saint Exupéry, Un Petit Prince parmi les Hommes » à La Sucrière – Lyon
Du 14 octobre 2020 au 25 avril 2021
Une exposition conçue, réalisée par Tempora, en partenariat avec la Fondation Antoine de Saint-Exupéry pour la Jeunesse, le Musée de l’Air et de l’Espace, l’Armée de l’Air et de l’Espace, l’artiste Arnaud Nazare-Aga et Le Mémorial de Caen.
En 2022, le Musée des Arts Décoratifs présente « À la rencontre du Petit Prince », la première grande exposition muséale en France consacrée au « Petit Prince », chef-d’œuvre intemporel de la littérature. Plus de 600 pièces célèbrent les multiples facettes d’Antoine de Saint-Exupéry : écrivain, poète, aviateur, explorateur, journaliste, inventeur, philosophe, porté toute sa vie par un idéal humaniste, véritable moteur de son œuvre.
À l’occasion de cet hommage exceptionnel, le manuscrit original, conservé à la Morgan Library & Museum à New York et jusqu’alors jamais présenté au public français, est mis en regard d’aquarelles, esquisses et dessins – pour la plupart inédits – mais également des photographies, poèmes, coupures de journaux et extraits de correspondances.
Exposition conçue en partenariat avec la Fondation Antoine de Saint Exupéry avec le soutien du Comité international, des Friends of the Musée des Arts Décoratifs, des Éditions Gallimard, d’Eden Livres et de la Fondation Jan Michalski.
En partenariat avec Air France.
Avec le soutien exceptionnel, par ses prêts, de la Morgan Library & Museum.
Réalisation : Anna-Claria Ostasenko / Musique : Wenceslas Ostasenko © Succession Saint Exupéry-d’Agay, © Éditions Gallimard, « Le Petit Prince » raconté par Gérard Philipe, 1954 © 2016 Mercury Music Group, Mercury Records, un label Universal Music 1943
Emile Guimet : un Novateur et un Visionnaire

Portrait d’Émile Guimet par Ferdinand Luigini (1898). Huile sur toile.
Texte : Francis Macouin,
Ancien conservateur général chargé de la bibliothèque du musée national des arts asiatiques de Paris
« Tâchez d’être mon compagnon, nous passerons ainsi dix mois qui éclaireront tout le reste de notre vie. » proposa Émile Guimet au dessinateur Félix Régamey (1844-1907) pour le convaincre de faire ensemble le tour du monde à partir de Philadelphie en 1876. Né en 1836, Guimet était alors un chef d’entreprise atteignant la quarantaine. Il avait succédé à son père Jean-Baptiste Guimet (1795-1871) inventeur d’un bleu artificiel dont la production industrielle dans l’usine de Fleurieu-sur-Saône lui assura une solide fortune et lui permit d’investir dans une autre production d’avenir, un métal nouvellement produit, l’aluminium. Émile, le seul fils, prit donc, sans grand enthousiasme semble-t-il, la direction de l’entreprise familiale en 1860 puis plus tard la présidence du conseil d’administration de la société connue par la suite sous le nom de Pechiney.
Dirigeant dans une industrie de pointe de l’époque, membre de la riche bourgeoisie lyonnaise impliqué dans la vie intellectuelle (il fut membre de l’académie de Lyon dès 1867) et la politique éducative (école la Martinière) locale, il avait aussi bien d’autres préoccupations que ces activités économiques quoiqu’il les assumât tout au long de sa vie. D’abord, il voulait être un patron social qui se souciait du bien-être de ses ouvriers et il ne répugnait pas à partager certaines activités avec eux comme la pratique de la musique. La vie artistique l’intéressait particulièrement. Fils d’une femme peintre, Rosalie Bidauld, issue elle-même d’une famille de peintres originaire de Carpentras, il s’essaya à la poésie mais son domaine de prédilection demeura toujours la musique, largement sous l’aspect de la musique chorale qui rejoignait ses préoccupations sociales, et dans les formes associées au théâtre. Cet autre domaine d’intérêt servait aussi à égailler ses séjours dans son château de Demigny (Saône et Loire). Cela le conduisit à faire construire un théâtre à Lyon, rue de la République (le bâtiment est aujourd’hui occupé par la FNAC), opération confiée à l’architecte lyonnais Jules Chatron (1831-1884), laquelle amena quelques démêlés administratifs à cause de la sécurité incertaine des lieux.
À côté de maintes chansons, dont la mise en musique de poèmes de Victor Hugo ou d’Alfred de Musset, il composa des œuvres de plus grande ambition. Citons Croquis espagnols pour piano (1863), un oratorio Le feu du ciel sur un texte de V. Hugo, représenté à Paris et à Londres, ou encore un ballet L’Œuf blanc et l’œuf rouge, mais l’œuvre la plus ambitieuse fut un opéra à sujet chinois Taï-tsoung, créé à Marseille en 1894.
Jeune homme fortuné, il avait le goût et les moyens de voyager à l’étranger. Il commença par un classique séjour en Espagne (1862) puis ce fut l’Allemagne, plus tard l’Afrique du nord, l’Europe de l’est, du nord. Tous ces voyages donnèrent lieu, à la mode du temps, à des récits publiés. L’Égypte surtout eut un impact considérable sur l’œuvre muséale future d’Émile Guimet. Il s’y rendit pour la première fois en 1865-1866 (Croquis égyptiens : journal d’un touriste, Paris, 1867) et il se mit dès lors à collectionner et à étudier les antiquités égyptiennes, se rapprocha des milieux académiques et s’intéressa à la question des musées.
En 1876 il partit donc pour l’exposition universelle de Philadelphie, visita et traversa les États-Unis pour rejoindre le Japon via l’océan Pacifique. Il s’était muni à cette fin d’un ordre de mission délivré par le ministre de l’Instruction publique dans le but d’enquêter sur les religions orientales. À cette époque, l’étude des religions devenait un nouveau champ d’investigations, non sans susciter de vives polémiques. La situation au Japon où le bouddhisme venait d’être séparé du shinto et connaissait une période difficile, où le mot d’ordre était de se mettre à l’école de l’Occident, lui procura de grandes facilités de recherche et autorisa une ample moisson d’objets de culte et de livres. Le passage dans le sud de la Chine, à Ceylan, en Inde du sud, n’offrit pas les mêmes opportunités mais occasionna un contact direct avec les pratiques religieuses locales.
Au cours du périple, Émile Guimet avait mûri ses projets et il les mit en pratique sans tarder à son retour, avec la détermination qui était la sienne. Il s’agissait de créer à Lyon une école de langues orientales, spécialement pour le japonais, mais ce fut un échec, et surtout d’établir un « musée religieux ». La construction fut confiée à Jules Chatron et le musée, dans un bâtiment réalisé en partie seulement, fut inauguré par Jules Ferry en 1879. Dans le même temps fut créée une revue scientifique indépendante qui paraît encore, la Revue de l’histoire des religions et un ambitieux programme de publications éditées sous le nom général d’Annales du musée Guimet. Après quelques années, Émile Guimet, déçu de l’accueil de ses initiatives à Lyon, décida de transférer l’établissement à Paris. Un accord avec l’État fut trouvé, sanctionné par une loi en 1885 : il prévoyait le don à l’État de l’ensemble de ses collections, livres compris, la construction à Paris d’un bâtiment particulier à l’imitation de celui de Lyon, le nom à perpétuité de « musée Guimet », le fonctionnement d’un musée dont la direction est confiée à Émile Guimet sa vie durant. La ville de Paris vota pour sa part une subvention pour acheter les terrains dans le XVIe arrondissement, alors en voie d’urbanisation. La collection personnelle d’Émile Guimet, donnée à l’État, constitue bien le premier fonds du musée. Outre les collections asiatiques, elle comprenait les objets égyptiens abondamment collectés mais aussi des antiquités gréco-latines et jusqu’à des objets amérindiens.
Après l’inauguration du musée parisien qui eut lieu le 20 novembre 1889, Émile Guimet consacra temps et argent à la vie de son institution, organisant des expositions, réclamant le dépôt d’œuvres appartenant à l’État, provoquant des dons nombreux (par exemple les objets coréens de Charles Varat en 1893 ou les peintures tibétaines rapportées par Jacques Bacot en 1912). Il est à noter qu’il commissionna aussi des fouilles archéologiques. Les plus célèbres furent celles d’Albert Gayet à Antinoé en Égypte où la nécropole fournit un important mobilier copte et des « momies ». De celles-ci on a beaucoup parlé alors, spécialement de celle qui était réputée être la momie de Thaïs, la célèbre courtisane d’Alexandrie, dont la sépulture était mise en scène au musée. Qui plus est, en 1912, il institua un nouveau musée Guimet à Lyon dans son premier bâtiment qui avait été racheté par la ville. Le musée selon Émile Guimet se devait être un lieu d’études et de diffusion du savoir ; pour cela bibliothèque et publications y tenaient une place éminente. Lui-même, outre de nombreuses conférences, produisit diverses études notamment sur un sujet qui l’intéressait particulièrement, la diffusion du culte d’Isis en Occident. Peu avant de mourir le 12 octobre 1918, il fut élu membre correspondant de l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Si après sa mort le musée évolua vers un musée différent de celui consacré aux religions, il conserva l’empreinte de son fondateur qui voulut dès le départ qu’il fût un outil de recherche et d’éducation.
Jean-Michel Jarre, Artiste


Hommage à Ron McNair, astronaute qui aurait dû interpréter un morceau dans l’espace lors du Concert Géant de Houston en 1986

La Swatch Musicale créée par Jean-Michel Jarre
Jean-Michel Jarre, Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO, soutient le droit des jeunes à l’éducation
Message de Jean-Michel Jarre lors du
Jour Mondial pour l’environnement de l’UNESCO du 5 Juin 2020
Jean-Michel Jarre et le Métavers
Jean-Michel Jarre et la Voiture Electrique de Renault
Oxygène 4 de J.M. Jarre, morceau autour de l’Environnement en 1976
J.M. Jarre en Chine en 1981
J.M. Jarre en Concert avec une liaison avec la station MIR
Jean-Michel Jarre :
Préparation du concert de Pekin en 2004
Jean-Michel Jarre revient sur son Histoire
EON par J.M. Jarre
Concert Virtuel de J.M. Jarre à Notre Dame de Paris
Album-concept pour accompagner l’exposition immersive Salgado Amazonia du photographe Sebastião Salgado.
Jean-Michel Jarre sur l’industrie musicale
Genesis

Le Vari-Lite : Genesis et Phil Collins ont participé au développement d’un nouveau système d’éclairage scène innovant.
Le Vari-Lite en 2022
Dr Jane Goodall, Primathologue, Anthropologue
et Ethologue
Reason For Hope by Jane Goodall, at USI
The Impact de Cerrone sur l’Environnement avec Jane Goodall
Steve Jobs sur le Management
Jean-Claude Anaf, Commissaire-Priseur à Lyon
